La prise de médicaments est un acte normal lorsqu’une personne est malade. Cependant, si bon nombre de médicaments peuvent être vendus sans ordonnance, il y en a d’autres qui ne peuvent l’être sans la présentation d’une ordonnance.
Pourquoi une ordonnance pour certains types de médicaments ?
L’ordonnance est un document délivré par le médecin à son patient. Ce document permet au malade de connaître son traitement et de s’en procurer dans une pharmacie. Il y a des types de médicaments qui nécessitent la présentation d’ordonnance médicale. C’est le cas de Spedra, un remède créé pour pallier le manque de virilité des hommes. Pour voir toutes les infos sur le spedra , il suffit d’aller sur le site internet du même nom. Plusieurs facteurs confèrent cet aspect d’accès limité à la consommation. En effet, il y a des remèdes qui contiennent des substances présentant plusieurs risques.
Ces risques sont les toxines, les mutagènes, les tératogènes, les cancérogènes, etc. Il y a également des médicaments dont l’usage est restreint. Cette restriction peut être due à : la réservation à un usage hospitalier, la prescription uniquement hospitalière, une prise sous haute surveillance ou encore la nécessité d’une compétence particulière. L’ordonnance est aussi exigée pour les médicaments pouvant entraîner des toxicomanies. Il est important de notifier qu’une ordonnance est adressée à plusieurs types de personnes, à savoir : les institutions de couverture sociale, le pharmacien et le malade.
Risques liés à la prise de médicaments sans ordonnance
La plupart des usagers d’une pharmacie, font de l’automédication. L’automédication, c’est le fait qu’un malade s’autoprescrit le médicament dont il a besoin pour son mal. Cette pratique est utilisée notamment, parce que les malades se diagnostiquent leur mal sur des symptômes. Ils l’utilisent également pour s’économiser quelques euros, en évitant de se rendre chez un médecin. Cependant, il s’agit d’une mauvaise habitude que tous les médecins déplorent, d’autant plus que beaucoup de maladies ont des symptômes similaires.
Ainsi, il peut arriver que les patients qui font de l’automédication, ne fassent que calmer leur mal, sans le guérir. Parfois, le médicament pris par le malade, contient des principes, qui au lieu d’aider, peut aggraver son mal, car pas du tout compatible. Il y a aussi la question de dosage qui doit interpeller chaque patient qui songe à faire de l’automédication, car au final, le médecin qui prescrit un médicament en connaît non seulement tous les composants, mais il sait dans quelle mesure ce remède doit être pris pour être efficace. Trop peu vous n’aurez aucun effet, et une quantité trop importante peut avoir de graves effets secondaires. De même, un médicament doit être pris pendant une certaine durée, et n’oublions pas que les antécédents sanitaires jouent également un grand rôle, au moment de la prescription du médicament, par le médecin.
Les médicaments nécessitant des ordonnances, sont ceux qui contiennent certaines substances, à savoir : l’opium, la codéine, l’éthylmorphine et la noscapine. Parmi ses médicaments, on peut citer : Humex, Efferalgan codéine, Lamaline, Le tramadol, La topalgic, Izalgi, Codoliprane, Lindilane, Skénan, Contramal, Ixprim, Oxycontin, Instanyl (spray nasal), Actiskénan, Moscontin, Dafalgan codéine, Zamudol, Oxynorm, Sophidone, Ctiq, Atuxane sirop, Dextricidine 0,3% sirop, Drill, Biocadextro, Nodex, Tussidane, Vicks 0,133% (adultes), Tussisedal sirop, Algicalm, Claradol codéine, Compralgyl, Klipal, Novacetol, Neo-codicon, Paracétamol codéine Arrow, Sedaspir Cp.